AccueilAccueil  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Bienvenue sur Remember The Time mes agneaux ! Life sucks, you'll learn it soon. 3126344527
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal

Partagez
 

 Life sucks, you'll learn it soon.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Adam E. Kingsley
I will not give a damn
I will live

Adam E. Kingsley

の Arrivée à Lawn : 26/06/2013
の Messages : 55


Life sucks, you'll learn it soon. Empty
MessageSujet: Life sucks, you'll learn it soon.   Life sucks, you'll learn it soon. EmptyMar 2 Juil - 13:05


Adam E. Kingsley
Life sucks


Salut tout le monde ! の Moi c'est Adonis Felipe Kingsley et je suis né(e) à Lawn un 10 février 1993, ce qui me fait donc 20 ans  のSi ça vous intéresse, je suis actuellement célibataire et Hétérosexuel  の Mes amis disent souvent que je suis Intelligent, sympathique, drôle mais aussi Infidèle, réservé, séducteuret que je ressemble beaucoup à Alex Pettyfer  の Je suis actuellement barman  の  N'oublions pas que je fais partie des Forêts noirs parce que franchement, ça déchire !



Who I Am ?

Adam est un gamin. Enfin il était. Jeune il en a fait des conneries. Ayant été abandonné, il se disait que de toute manière, si la vie ne valait pas mieux que ça, alors autant la modifier comme on le voulait. Autant la rendre plus joyeuse. C'était donc pour cette raison qu'il s'amusait à faire des farces innocentes à l'orphelinat. Plus grand, toujours aussi immature, il se disait toujours la même chose. "La vie ne vaut rien, pourquoi la prendre au sérieux?" et il continuait mais dans l'illicite maintenant. Il ne prenait rien au sérieux. Rien ni personne d'ailleurs. Il était intelligent mais n'allait pas à l'école. Il lisait dans son coin. C'était son secret. Tout à changé quand il est parti dans ce centre pour jeune délinquant. Il a grandi, a vu les horreurs de la vie. Il avait déjà participé à une fusillade mais n'avait jamais réalisé les conséquences. Sorti de là, il est devenu honnête, mature, mais souvent, il succombe à ses anciens démons et redevient le bourreau des coeurs qu'il était, l'ancien fêtard. Il s'amuse, comme avant, mais cette fois, il a des limites.  

Interview

の Depuis quand habites tu à Lawn ?Depuis que je puisse me souvenir.
 の Aimes tu cet endroit ?Toute manière je ne peux pas en partir... alors qu'est ce que ça change que je réponde?
の Qu'est-ce qu'il te plais et déplais dans cette ville ? Trop de trucs sont dans cette ville pour que je puisse tous les citer.
の As-tu déjà entendu parler de Dirty Little Secret ? !! A remplir après l'intrigue numéro 1 !! !! A remplir après l'intrigue numéro 1 !!


Coucou tout le monde ! Dans la vrai vie je m'appelle Céline mais sur la toile, on me connait sous le pseudo de X. Ajoutons que j'ai 17 ans et que j'habite dans la région de Quelque part sur terre. J'ai trouver le forum sur ... La grande ours m'a guidé ! (Pas de lien, merci) et je le trouve Super, fabuleux, parfait !, c'est pour cela que je m'engage à être présent(e) 7 jours sur 7. Ah oui et mon personnage est INVENTE ! J'ajouterais que je vous aimes Life sucks, you'll learn it soon. 1214822688. [/b]


Dernière édition par Adam E. Kingsley le Jeu 3 Oct - 20:40, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Adam E. Kingsley
I will not give a damn
I will live

Adam E. Kingsley

の Arrivée à Lawn : 26/06/2013
の Messages : 55


Life sucks, you'll learn it soon. Empty
MessageSujet: Re: Life sucks, you'll learn it soon.   Life sucks, you'll learn it soon. EmptyMar 2 Juil - 13:06



Prénom P Nom

+ Tu sais ce que j'aime à propos des riches? Rien ! +

Du point de vue de M. Kingsley:

18h. La fin de ma journée. Je pouvais enfin rentrer chez moi. Bon on pouvait m'appeler à n'importe quelle heure pour le boulot étant donné que j'étais flic mais, chez moi, je pouvais être en compagnie de ma femme et mon fils. Ils étaient tout pour moi. C'est donc plein d'entrain que je mis les pieds dans ma maison. D'un geste habituel je posais mon flingue sur la table basse et allait embrasser ma femme. Tout sourire je lui demandais comment s'était passé sa journée. Elle s'apprêtait à me répondre quand son regard devint effrayé, me tournant pour voir ce qu'il se passait, je vis mon fils de 3 ans avec le fusil dans les mains. Mais quel con ! Pourquoi je l'avais posé là?! Paniquant, ma femme courut vers lui en lui criant de lâcher ça et avant même que je puisse réagir un "BOUM" retentit. Sans réfléchir je courrais sur le corps ensanglanté de ma femme. Des larmes roulaient sur mes joues. Elle me supplia de ne pas appeler l'ambulance car elle voulait passer ses dernières heures avec moi. Je tournais la tête vers Adam. Effrayé, il avait lâché l'arme. D'un geste rapide je la reprenais. Le temps que j'appelle l'ambulance et qu'elle arrive, ma femme était morte. Son corps inerte se trouvait dans mes bras. Une rancoeur sans pareil envers mon fils grandit. Je me dirigeais vers lui, prêt à le frapper. De ta faute. C'est de ta faute. Je m'arrêtais net. Une petite voix n'arrêtais pas de me répéter que c'était la mienne. Ne supportant pas la culpabilité, je montais l'arme à côté de ma tempe. Un coup et c'était fini. Un coup et je n'étais plus. Un coup et... le trou noir.

POINT DE VUE D'ADAM :
On dit que quand on sait d'où on vient alors on sait qui l'on est. Si on suivait ce proverbe alors... je ne suis rien, tout du moins, je n'ai pas connaissance de mon identité. J'ignore carrément mon vrai nom, mes parents et encore plus ma maison... Ma vie commence de façon merdique, je ne pourrais vous raconter dans quelles circonstances je suis né mais je peux vous dire une chose : je n'étais pas voulu. A 3 ans, l'âge de mon abandon, une assistante social m'a trouvé et confié à un orphelinat. Des liens se sont créés dans cet endroit loin d'être parfait. Un lien spécifique auquel je tiens beaucoup, encore aujourd'hui d'ailleurs. Mais il a dû être brisé le jour où l'on m'a adopté. C'est là que commence ma véritable histoire, celle dont je me souviens. «Je suis le maître de mon destin, le capitaine de mon âme ». Je trouvais que cette citation me correspondait bien. En effet, la plupart du temps je faisais l'action, j'étais l'action. Je commandais, dirigeais, orchestrais le moindre complot. Autant dire que je ne fréquentais pas les bonnes personnes. Pourquoi faire ça ? Pourquoi gâcher ma vie alors que j'avais une chance de m'en sortir ? Tout simplement parce que je ne voulais pas m'attacher. J'avais souffert d'abandon une fois, pas deux. Leur fils passait beaucoup de temps avec moi. Solidaire, chaleureux, voilà comment on le qualifierait. A 16 ans, nous étions vraiment proches malgré le nombre de fois où je l'ai envoyer valsé. Je commençais à ressentir de l'affection pour lui. Mais cela ne m'a pas empêché de continuer mes affaires. «Affaires» ne constituait en fait qu'une activité : le crime, mais de différentes manières. La discrétion pour le vol d'une voiture. La force pour l'affrontement. La précision pour copier une œuvre d'art. Voici les trois catégories majeures. Malgré l'adrénaline, les journées commençaient à être monotone, jusqu'à ce fameux jour. Les ruelles étaient vides. Personne, tout du moins c'est ce qu'on pensait. On continuait de poser les pieds l'un devant l'autre jusqu'à ce qu'on l'aperçoive. Une caisse. Pas n'importe laquelle. Celle d'un richoux, une caisse de course. Elle devait beaucoup valoir. En un regard, on s'était compris. Alex courut vers la voiture, moi derrière lui. Il sortit l'accessoire et l'introduisit dans entre la vitre et la portière pendant que je le cachais, que je faisais le guet. Mon regard scrutait les horizons jusqu'à apercevoir des lumières bleues et rouges. Et m*rde ! Me grouillant d'entrer dans la voiture, je sentais l'adrénaline monter. Cent à l'heure, le rythme auquel mon cœur battait. La voiture continuait d'accélérer, on allait trop vite et ce qui devait arriver, arriva. Un accident et après, le trou noir. Aujourd'hui encore, les images sont vagues, embrouillés. Ils m'emmènent au commissariat, dans une cellule séparé de celle de mon ami. Quelques jours plus tard, on prononce mon nom, on me dit que l'avocat veut me voir, alors je sors et rentre calmement dans la salle. L'homme me dit d'un ton compatissant, en contraste avec son air sévère : «M. Kingsley, je vais être direct, vous êtes jeunes et n'avez pas beaucoup commis de crimes contrairement à votre ami. Vous pouvez encore vous en sortir... », sentant la condition arriver, je l'interrompis, ayant la flemme d'entendre tout le blabla qui allait avec : «Et comment ? », son regard se fit moins dur, ses paroles, pourtant, l'étaient tout autant : «En allant dans un centre pour jeune délinquant. ». Je vais vous épargner toutes les protestations, le débat et le cliché du monde qui s'écroule pour en venir directement au but : ce centre pour jeunes délinquant ? Il craignait.

~ 1 an plus tard  ~

« Bonjour, vous êtes bien sur le... », mon pouce appuyait sur la touche « raccrocher » à l'entente de ces premiers mots. Elle n'allait pas répondre, comme il y a cinq minutes, comme il y a une heure, comme hier et pourtant je continuais, je m'acharnais à composer son numéro sur mon portable. J'avais retrouvé mon ancienne meilleure amie, Lysandre Daugherty, dans la même ville que moi et pourtant elle m'ignorait. Ce n'était pas faute de se souvenir, plusieurs fois j'avais tenté de lui rappeler qui j'étais, nos délires ensemble, nos souvenirs bon comme mauvais... Rien à faire elle continuait à faire la gosse de riche idiote qui ne se souvenait pas de moi.  Au départ, son silence m'avait énervé mais, maintenant, je commençais à me faire un sang d'encre et dieu sait que ce n'est pas mon genre. D'habitude je ne me souciais pas des autres, je vivais ma vie et laissait le reste tranquille. Néanmoins il existe toujours une exception à la règle n'est-ce pas ? J'essayais encore une fois de l'appeler, et encore une fois je tombais sur le répondeur. Alors que je raccrochais, une idée se mit à germer dans ma tête : si ça se trouvait elle se jouait de moi.. Elle adorait les blagues quand on était gosse ! Qu'est ce qui me faisait croire que ce n'en était pas une ? Souviens toi d'il y a quelques jours, me répondit une petite voix. Oui, c'était vrai. Lysandre avait été mystérieuse depuis mon arrivée... Son air dur et froid me demandant de la laisser tranquille.. Une énigme en cours de résolution d'ailleurs ! Normalement, elle était tout pleine de vie, plaisantant à la moindre occasion, faisant des farces à quiconque et me répétant sans cesse «Essaye d'être plus sociable, plus gentil avec les autres et tu verras ! Tu m'étonnes que personne ne vienne te parler avec l'air que tu affiches ! Non mais sérieusement, on dirait que tu vas tuer quelqu'un. » et elle faisait sa petite mine renfrogné.  Je souri à ce souvenir et recomposais le numéro possédé grâce au registre de la ville. Je m'arrêtais avant d'appuyer sur la touche « appeler », à quoi ça servirait ? Je me taperais encore la messagerie. Tant pis, j'allais trouver un autre moyen. Parfois je me demandais pourquoi. Pourquoi je me mettais dans cet état là pour cette fille ? Pourquoi je m'acharnais ? Pourquoi j'avais l'impression que mon cœur allait sortir de ma poitrine alors que j'ai vécu des choses bien pire en centre pour jeunes délinquants ? Je n'avais aucune réponse. Tout ce que je savais c'était que, depuis que j'avais quitté cet orphelinat elle m'avait manqué. Je ne pensais plus pouvoir ressentir des sentiments comme la compassion, la tristesse ou encore...la nostalgie. Ce n'était qu'un problème mineur aux yeux des autres sûrement, c'était vrai que depuis ma sortie du centre tout n'allait pas à merveille. Mon insertion dans la ville ne se passait pas super bien. Les gens se méfiaient d'un ex-délinquant. « Qui sait ? Il pourrait recommencer» disaient-ils. Mais bon, la vie est un combat, chaque jour est une bataille. Honnêtement, les gens refusent de croire en moi ici. Autant dire que ça ne me donne pas envie de changer hein. Mais bon, j'ai réussi à battre mes anciens démons et suis maintenant barman au compte de quelqu'un. Je suis traité comme une m*rde par certains employés mais j'en ai rien à faire. J'ai vécu pire. Je continuais à faire la fête, à fumer, à fréquenter mes anciens potes -ceux qui étaient sortis- mais en aucun cas je ne recommençais les activités illicites. Puis, j'entendis parler de ce pensionnat. Une seconde chance hein? Bon.. Pourquoi pas tenter?


Revenir en haut Aller en bas
 

Life sucks, you'll learn it soon.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Did You Forget :: Gestion des personnages :: Registre de la ville :: Bienvenue à Lawn-